Au Sénégal, si l’Agriculture est pratiquée à 70% par la population active, il est d’une vérité que les problèmes demeurent dans ce secteur comme l’accès à la terre, le foncier agricole, la qualité des intrants reste une problématique. Et l’utilisation des pesticides ou des engrais chimiques sont aussi des problèmes dans le secteur agricole. Ainsi, la solution doit être la pratique agroécologique, afin d’avoir des rendements meilleurs.
En effet, le reporter du journal agricole sénégalais (lejasenam) et de son support numérique agricole (Rondelleplus), a constaté, hier à Dakar, que des supports de données d’informations climatiques comme Jokalanté, Mlouma, à travers l’Anacim progressent au Sénégal, en Afrique, pour aider les producteurs d’aller vers une pratique agricole climato-intelligente au Sénégal (Afrique), dans le cadre d’un concept axé sur : « Comment mettre à l’échelle l’innovation dans les systèmes de productions agricoles et animales pour une agricole résiliente », sous la houlette du projet ou programme : « Accélération des impacts de la recherche climatique du CGIAR pour l’Afrique », (AICCRA en version Anglais). « L’utilisation des informations météorologiques et climatiques est aujourd’hui essentielle pour augmenter la productivité des exploitations agricoles et pastorales.
Par conséquent, l’amélioration de l’accès des agriculteurs et des éleveurs aux services d’informations climatiques est une nécessité. Le renforcement des capacités de gestion des risques climatiques est également important », a soutenu, hier, face au reporter du journal agricole sénégalais (lejasenam/rondelleplus), Monsieur Kalidou Sow, Directeur de Cabinet du Ministère de l’Élevage et des Productions Animales (MEPA) du Sénégal.
Par Amadou Tidiane Sow