Le Réseau des Parlementaires pour la Protection de l’Ene à Dakar, un atelier sur les normes de transparence dans le secteur de la pêche. Le but de cette rencontre est de mettre à la disposition des parlementaires, des hauts conseillers et des membres du CESE des outils pour mieux comprendre les enjeux de la transparence dans la gestion de pêches pour faire face aux problématiques de durabilité des ressources.
Le directeur exécutif du Partenariat Régional pour la Conservation de la zone côtière marine en Afrique de l’Ouest (PRCM), Ahmed SENHOURY, est revenu sur l’importance de cet atelier
« l’objectif de l’atelier est de partager avec les députés, les représentants des communes et des mairies du Sénégal les enjeux de la transparence dans le domaine de la pêche, la bonne gouvernance et de présenter les outils mis en place pour formaliser la transparence dans la gestion de pêches » a déclaré le directeur exécutif du PRCM.
Venu représenté, Ibrahima Baba Sall, président du REPES, à la cérémonie d’ouverture, Mamadou Oury Baïlo Diallo, président de l’UAEL a fait savoir que le Sénégal est en avance dans le processus de gestion et développement de pêches mais, on note le manque d’outils et normes de standard internationaux. C’est ce qui a motivé cette initiative d’informer les députés de l’existence de ces outils afin que des mesures soient prises et que le Sénégal ne soit pas en retard par rapport aux autres pays.
Selon lui, en transparence il n’y a pas de perte on gagne des opportunités et des gains. Le Sénégal a déjà ses outils mais on nous demande des normes au niveau international. Ce, dans le but de renforcer la gestion des ressources au niveau de la pêche.
