La sécurité climatique (SC) est la seconde composante de la résilience dans le contexte du changement climatique (CC), a appris hier, le journal numérique agricole rondelleplus online Sénégal et le journal agricole du Sénégal (lejasenam), au cours d’un conclave de 48 heures à Dakar sous la houlette du CGIAR et de ses partenaires comme AGNES, axé sur le thème : « La Sécurité Climatique : Etablir une Vision Commune Sur les Relations entre le Climat, les Conflits et la Sécurité Humaine », dans le cadre du renforcement de la résilience systémique contre la variabilité et les extrêmes climatiques (ClimBer Initiative).
« Durant ses 48 heures, nous allons travailler sur un contenu de changement climatique. Il s’agit de parler du lien entre le climat et la sécurité : Développer une Vision Commune entre acteurs de ces questions de sécurité et climat », a soutenu, face à la presse agricole sénégalaise, Monsieur Pape Bocar Mané, Directeur Régional AfricaRice (Directeur Pays : Ndlr). En effet, cette rencontre de deux (2) jours a été basée sur trois axes qui sont méthode, organisation et travail de groupe, a constaté la presse agricole sénégalaise (Rondelleplus Online Sénégal/ lejasenam).
Ainsi, la session 3 dont le libellé est : « Acteurs à l’intersection du climat et de la sécurité » par exemple a été définie comme une session qui vise à identifier les parties prenantes (régionales, nationales et infranationales) qui travaillent actuellement sur les liens entre les impacts liés au climat, l’insécurité et les conflits ; à évaluer comment elles peuvent ou non s’engager les unes avec les autres, et à permettre aux participants de réaliser comment ils pourraient travailler ensemble sur le climat et les conflits. D’après, Monsieur Bounama Dieye du MAERSA : « Nous remercions le consortium CGIAR/AGNES à l’effort de s’engager à réunir ces riches acteurs de sécurité et climat. Le changement climatique est là, nous devons l’attaquer avec efficacité ». Pour rappel, un plan d’action (P.A) s’en sortira durant ces deux jours. Bref, le Sénégal va-t-il s’engager à accompagner ce programme en perspective ?
Par Amadou Tidiane Sow
