Le réseau des associations pour la protection de l’environnement et la nature (RAPEN) en partenariat avec l’ONG Action Solidaire International (ASI), Global Green Grant Fund, le réseau Africain sur le charbon ( ACN) et le PACJA Sénégal a tenu, ce mardi, un atelier de partage et d’échange sur les énergies renouvelables et les enjeux de la transition énergétique. Cet atelier vise à faire l’état des lieux de la politique énergétique du Sénégal et les options stratégiques de développement de sa capacité énergétique renouvelable face à l’exploitation future du pétrole et du gaz.
Cette rencontre entre dans le cadre des préparatifs de la Cop 27 qui va se tenir en Égypte. Il est important pour les pays Africains les plus impacté aux changements climatiques ayant des initiatives déjà à prendre des formulations très avérées qui vont objectivement servirent de base de discussion lors de cette rencontre internationale en terre Africaine pour la première fois.
« Nous sommes à l’heure des grandes problématiques liées au réchauffement climatique, l’environnement au coeur de cette problématique. Depuis la Cop 21 de Paris en 2015, les Etats s’étaient engagés dans des contributions déterminées au niveau national d’impacter sur les émissions de gaz à effet de serre dans nos Etats », a declaré Youssou Ndiaye vice président de PACJA.
Selon lui, l’idée pour ces organisations de la société civile est de contribuer à faire un plaidoyer mais aussi à s’engager avec l’Etat en terme d’action individuelle ou en groupe pour qu’elles puissent prendre les devants à parler de ces problèmes majeurs.
« Ces contributions sont évaluées en deux phases. Il y avaient ceux évaluées au niveau national d’une façon conditionnelle et inconditionnelle. Cela veut dire que des projets qui devaient être faites et des actions y affairant devaient avoir des atténuations sur ces émissions », ajoute-t-il.
Il est attendu aux termes de l’atelier un bonne information des politiques stratégiques de l’Etat du Sénégal en matière de promotion des énergies renouvelables. Même si le Sénégal exploite des ressources gazières, le pays doit selon ces membres de la société civile, également continuer d’investir et de soutenir de nouveau projet d’énergie renouvelable.