« Chers jeunes de la ferme Waar-wii de l’Anida, ici, à Keur Madiabel, à vous de nous prouver que votre avenir se joue ici dans la région de Kaolack… »
Le traditionnel périple de la campagne agricole dans le bassin agricole sénégalais, ex bassin arachidier, Kaolack sous la houlette du Ministre de l’Agriculture et de l’Équipement (MAER) le Professeur Moussa Baldé, hier, a été fait en trois étapes dans les zones rurales à vocation agricole de : « Fass Barigo », « Keur Socé », « Keur Madiabel » dans les départements de Nioro, de Guinguinéo et Kaolack… « Il faut savoir tout d’abord que Kaolack est une très grande région de production agricole. Kaolack est devenu, un véritable bassin agricole, avec la communauté rurale à vocation agricole de Keur Socé, avec la production du riz de plateau », a soutenu, hier, face à la presse agricole locale de Kaolack, Le Professeur Moussa Baldé, Ministre en Charge de l’Agriculture et de l’Équipement Rural (MAER). Pour lui : « Keur Madiabel est l’avenir de l’agriculture sénégalaise ». A en croire, le jeune Spécialiste en Informatique Monsieur Momath Gueye devenu Agripreneur dans la ferme Waar-Wii de l’ANIDA à « Keur Madiabel », en ces termes : « Notre avenir se joue ici, dans cette ferme, Monsieur Le Ministre de l’Agriculture et de l’Équipement Rural (MAER) soyez-en rassuré. Il faut nous donner quelques mois, vous serez fière de nous : IN SHA ALLAH ! ». D’après le Professeur Moussa Baldé : « Chers jeunes de la ferme Waar-wii de l’Anida, ici, à Keur Madiabel, à vous de nous prouver que votre avenir se joue ici dans la région de Kaolack notamment à Keur Madiabel ». Pour rappel, au moment où nous mettons sous presse ce papier, le traditionnel périple du Professeur Moussa, MAER, devait se poursuivre à Fatick, l’autre pôle à vocation agricole du Sine-Saloum, après Kaffrine et Kaolack. Bref, la ferme Waar-Wii de l’ANIDA d’un montant global de 160 millions de francs CFA à « Keur Madiabel », seul 150 millions de francs CFA ont été utilisés sous la houlette d’El Hadj Malick Sarr, Directeur Général de l’agence nationale d’insertion pour le développement agricole (ANIDA).
Par Amadou Tidiane Sow